Finitude, cette petite maison d’édition bordelaise, n’avait édité que 4 romans arrivés par la Poste quand le manuscrit d’Olivier Bourdeaut leur parvient. Coup de coeur. Avant parution, ils le proposent à des éditeurs étrangers. C’est un carton : avant d’être publié le livre est vendu dans huit pays, puis dix de plus… Folio achète les droits du format poche.
Les journalistes s’emballent, les libraires s’enflamment, le succès est au rendez-vous. Des centaines de milliers d’exemplaires vendus…
Le couple gérant la maison d’édition garde la tête froide. Il gère le succès, se débrouille pour produire suffisamment et engrange des capitaux qui lui donneront la sérénité nécessaire pour éditer peu et bien comme il le souhaite depuis toujours.
Une belle histoire !
« En attendant Bojangles » est désormais dans ma liste des prochaines lectures…
Source : Le magazine littéraire, juin 2016 (Merci à Nicole !)
https://www.finitude.fr/index.php/livre/en-attendant-bojangles-2/