Les hortensias déclinent
Sous peu ils ne seront que tiges tristes
C’est l’automne.
Et trop vite l’hiver.
Les hortensias déclinent
Sous peu ils ne seront que tiges tristes
C’est l’automne.
Et trop vite l’hiver.
J’ai trouvé ce roman dans la boîte à livres de mon entreprise et l’ai embarqué sur l’incitation de ma collègue Geneviève qui m’a dit que son mari l’avait adoré. Je ne peux que l’en remercier.
Avec un texte aussi ciselé, je n’ai pu tout au long de ma lecture qu’admirer le travail virtuose du traducteur, François Maspero. Je ne connais pas grand-chose au travail de traduction mais je touche du doigt combien il doit être difficile de restituer l’oeuvre d’un auteur à la nuance près.
Un roman qui m’a enchanté. Et pour ne pas perdre cette magie des yeux, je croque le deuxième tome !
Les vagues viennent lécher les pensées, emportent les plus tristes dans les profondeurs où elles les noient. La mer lave l’âme, l’apaise.
A me laisser penser à une infusion de millepertuis, de camomille ou de tilleul.
Une idée que cet infuseur géant vient renforcer.
Photos prises à Cabourg en oct. 24
Parmi les romans lus cet été, Je l’aimais d’Anna Gavalda. Dans ces dialogues entre une jeune femme quittée par son compagnon et son (nouvellement ex) beau-père, l’auteure nous entraine dans des questionnements sur l’amour, la vie, le désir, les renoncements, les doutes et les lâchetés. Des propos tendres, généreux et des personnages tellement humains.