La semaine dernière, je vous ai parlé du travail de Jan Vormann qui rafistole les monuments avec des plaques de lego. En y citant l’oeuvre d’Ememen, et sa façon bien à lui de réparer les trottoirs avec de la mosaïque, cela m’a rappelé un article de radio France, signalé par mon amie Nicole (dont je vous parle souvent) à la suite justement de mon post sur cet artiste.
Il y est question d’une autre initiative de réparation de la chaussée, cette fois-ci par un collectif de femmes, les K-releuses, qui oeuvrent dans le nord-est de Paris, le long du canal de l’Ourq, avec des carreaux qu’elles fabriquent dans l’esprit Azulejos. La ville de Pantin en parle aussi.
Je m’étais promis d’écrire quelques lignes sur ce blog après être partie aux beaux jours sur les traces de ces carreaux bleus et blancs. Je ne les ai toujours pas vus de près mais l’envie est toujours bien ancrée dans mon esprit. Les initiatives de street art telles que celles-ci, vraiment, je trouve qu’elles embellissent la ville et la vie.
bien d’accord ! c’est beau et rafraîchissant…