Il y aurait deux millions de possesseurs illégaux d’armes, commenta ma mère après avoir découvert l’article de son journal favori sur la campagne de désarmement.
Deux millions moins un, ils n’ont pas actualisé leur chiffre, j’ai répondu.
Si tu avais attendu un peu, on aurait pu aller dans un Armodrome.
Un Desarmodrome, plutôt, mais on aurait manqué la rencontre avec l’armurier et la gendarme Cadillou. Cela aurait été moins drôle
Et, dans un ultime souffle de rancune, j’ajoutai : Tu vois bien qu’il fallait s’en débarrasser de ces fichues pétoires, si La Dépêche le dit.
Retrouvez le récit : Chez l’armurier
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Photo empruntée à la Dépêche du Midi