J’aime bien cette idée, elle me parle comme on dit. Ecrire de la fiction c’est se rebeller contre la fatalité de la réalité. C’est Guillaume Musso qui l’a écrit dans La vie est un roman (que je n’ai pas lu) et il en connait un rayon sur le sujet !
Il est jouissif en effet pour les auteurs de fiction de tordre le cou à la triste réalité, de détourner des destins, d’enfanter des héros si attachants. C’est pour cela qu’on écrit, que j’écris en tout cas.