Autres lectures durant ma pause forcée, ces deux romans « feelgood ».
Le dernier opus de Grégoire Delacourt d’abord, dont j’apprécie le style et le regard humaniste. Il y est question des gilets jaunes, d’autisme, de radicalisme religieux, de désespérance, de violence, d’impuissance… et surtout de rêves, d’amour et d’espoir. L’auteur s’emballe, c’est son style, il veut croire en une société plus juste, plus accueillante, que l’intelligence et la bienveillance gagneront. Un récit vibrant qui m’a emportée vers un monde méilleur.
Celui de Julien Sandrel ensuite, « la vie qui m’attendait », emprunté à ma mère à la veille de mon intervention chirurgicale, le titre certainement !, qui s’est révélé une belle surprise. A quarante ans, Romane découvre qu’elle a une soeur jumelle, Juliette. Comment est-ce possible ? Si les deux soeurs se ressemblent trait pour trait, leurs vies sont bien différéntes. Une réflexion sur la valeur de l’existence, sur la quête du bonheur et le courage de changer de vie.
Deux romans tendres et optimistes pour quelques heures de lecture apaisantes.