Maintenant que la maladie est derrière nous, que tous mes co-confinés sont sortis d’affaire, je peux en parler plus librement : nous avons été mordus par l’insaisissable ennemi mondial numéro 1. Juste au début du confinement. Pas seulement confinés, covconfinés ! Mais grâce à nos vaillants anticorps et à Morphée, qui nous a bercés pendant deux semaines, il a pris ses petits récepteurs à son cou pour fuir notre camp de retranchement. Je souhaite désormais à tous les contaminés de ne pas être plus atteints que nous l’avons été par ce malfaisant.
Covid-19, un drôle de nom pour un truc aussi microscopique ! On dirait le titre d’un roman de Dan Brown ou de Bernard Werber. Peut-être l’un d’entre eux s’en inspirera-t-il d’ailleurs pour nous concocter une nouvelle intrigue policière sur fond de code génétique et de machination pharmaco-étatique.
Et combien d’autres romans vont être inspirés du confinement ? Il peut se passer tellement de choses dans ces huit-clos contraints… Il s’en passe d’ores et déjà, c’est certain, pour le meilleur et pour le pire.
Une affaire sanitaire et littéraire à suivre…