Archives mensuelles : mars 2018

E20
Au salon du livre de Paris – Mars 2018

Je viens de m’enregistrer sur Babelio en tant qu’auteure (et lectrice). Un bon moyen, il me semble (j’espère), d’interagir avec des lecteurs. Pour le moment, ma seule publication affichée est « Point à la ligne ».

Si vous avez lu ce recueil de nouvelles, êtes peut-être même déjà adepte de Babelio, n’hésitez pas à donner votre avis et engager des discussions. Je serais ravie d’y participer.

 

evaLe scénario de ce nouveau film de Benoit Jacquot a des similitudes avec celui de mon roman en cours d’écriture : l’écrivain en panne d’inspiration qui cherche à retranscrire ce qu’il vit dans ses écrits et le désir à sens unique. Mais quelle déconvenue ! Je suis passée outre les critiques tièdes pour le plaisir de retrouver Isabelle Huppert et Gaspard Ulliel. Mais je me suis ennuyée. Il n’y a aucune tension, ou si peu. Un thriller sexuel parait-il, mais sans sexe ni meurtre, seulement indirectement ou par suggestion.

Un seul mot : décevant.

17309264_10154417414542544_4252322407467712619_n« Point à la ligne » a été lancé il y a tout juste un an, le 20 mars 2017, lors d’une soirée au siège des éditions Abordables. Quelle aventure !

Depuis, il y a eu la participation à deux salons du livre, la « nomination » au prix Lea et de belles rencontres, surtout.

« Point à la ligne » poursuit son petit chemin. Il est désormais expurgé de ses coquilles, ouf !, et est maintenant référencé correctement par la Fnac. Deux victoires.

Car j’ai connu quelques désillusions depuis ce lancement, c’est certain, mais aussi des satisfactions. Et par dessus tout, ce que je retiens c’est le sentiment de m’être embarquée durablement dans une nouvelle aventure.

E20Salon du livre de Paris, Vendredi 16 mars 2018, 16h. Céline Willocq me laisse sa place sur le stand des Editions Abordables (LEA) sous la pression de la foule qui m’attend pour une dédicace de « Point à la ligne ».

Une heure et demi plus tard, il faut se rendre à l’évidence, le succès est indéniablement au rendez-vous : deux dédicaces. Une seule, pour être honnête, car la seconde est pour mon voisin de table (Régis Widemann qui dédicace Itinéraire d’un pied blanc, gris, noir). Trop facile. Une seule donc, mais pour une future lectrice qui m’a semblé très motivée. Elle m’a promis un retour via ce blog. J’ai hâte !

Cette fin d’après-midi a également été enrichissante grâce aux échanges avec certains membre de l’équipe Léa, avec quelques auteurs, avec des lecteurs et avec mon amie Nicole. Merci à tous.

Et vivement le salon 2019 pour exploser le compteur !

couvv4 Je vous rappelle que mon livre est en lice pour le concours « Kobo by Fnac – Préludes » et que le jury s’appuie en premier lieu sur le nombre d’avis positifs déposés sur les sites Kobo et/ou Fnac.

Aussi j’ai besoin de votre avis et de ceux de votre entourage d’ici le 3 mai (fin du concours) si vous avez aimé un peu ou beaucoup cette histoire.

Car aujourd’hui le livre a été téléchargé quelque 300 fois mais seuls 18 avis ont été déposés (9 sur la Fnac, 9 sur Kobo). C’est bien, d’autant que les commentaires sont très bons, mais pas suffisant pour sortir du lot. Alors merci à ceux qui se sont déjà lancés, et merci par avance aux autres qui vont répondre à cet appel.

Si vous n’avez pas encore téléchargé l’e-book, revoici le lien vers la page Fnac

Si vous n’avez pas réussi à le télécharger, voici grosso modo le principe :

Vous créez un compte client sur le site Fnac, si vous n’en avez pas déjà un, et vous achetez le livre. Vous validez le paiement même s’il est à 0 €. Le site peut vous proposer de télécharger le logiciel Kobo, acceptez. Vous devez au préalable avoir choisir sur quel appareil vous allez lire le livre (PC, Tablette, smartphone). Téléchargez la version adéquate. A défaut ou si ça ne fonctionne pas, quittez le site Fnac et installez l’appli ou le logiciel Kobo depuis l’appareil sur lequel vous allez lire l’e-book comme n’importe quelle appli (tablette ou smartphone) ou logiciel (PC). Ensuite retournez dans votre compte client Fnac, dans « Mes commandes », et téléchargez l’e-book. Ouvrez ensuite votre appli Kobo, soit elle fait seule la synchronisation, soit il vous faudra associer vos comptes Fnac et Kobo pour qu’elle la fasse. L’e-book doit alors se trouver dans votre bibliothèque Kobo. Vous n’avez plus qu’à cliquer dessus pour lancer la lecture. Quand ca ne fonctionne pas bien, il faut refaire les étapes. En s’acharnant on y parvient. Utiliser la même adresse mail pour les comptes Fnac et Kobo simplifie le process.

Et enfin, si vous ne vous êtes pas encore lancé dans la lecture, sachez qu’il suffit de 4 à 5 heures pour arriver au bout.

A bientôt

 

 

paris-en-bouteilleLéa. Léa ? Je parle des Editions Abordables.

Dans le métro, ce dimanche après-midi, ma voisine de siège lisait un livre au format bien connu. Après m’être dévissée la tête pour identifier le titre de l’ouvrage, j’ai reconnu la couverture de « Paris en bouteille ».

Un signe encourageant pour l’éditeur. Quand vos ouvrages descendent dans le métro, c’est l’anonymat qui s’éloigne.

Verrai-je un jour un passager du métro lire l’un de mes livres ?

couvv4Plus de 200 téléchargements à ce jour et 15 avis (sur les sites Kobo et la Fnac réunis). C’est bien mais encore plus de commentaires, ce serait beaucoup mieux.

Alors pour commencer, un grand merci à ceux qui se sont lancés. Et pour les autres, voyons voir ce qu’il se passe :

  • vous avez téléchargé le bouquin mais vous n’arrivez pas à l’ouvrir sur Kobo ou à le trouver dans votre bibliothèque ? La solution : s’acharner. Vous allez réussir. A ne pas perdre de vue, il vous faut associer votre compte Fnac et votre compte Kobo pour retrouver le bouquin dans votre bibliothèque Kobo. Sinon demandez à votre neveu de 10 ans, il saura faire, lui !
  • Vous avez téléchargé le livre mais vous ne trouvez pas le temps de le lire ? Allez courage, l’éditeur a évalué à 4 à 5 h le temps de lecture. Trop fois rien, quoi.
  • Vous avez lu ce roman mais il ne vous a pas convaincu ? Sauf s’il ne vous a pas plu du tout, vous allez bien trouver un petit commentaire mi-figue mi-raisin, allez, cherchez !
  •  Vous ne faites même pas partie des 213 téléchargeurs ? Quel argument va faire mouche : qu’il est gratuit pour le moment ? que rien ne vaut un livre papier, c’est sûr, mais que justement pour avoir une chance de voir cette histoire publiée en papier, il faut l’encourager ? que vous avez de bonnes raisons d’être rebuté.e par cette technologie difficile d’accès, mais que vous aurez le sentiment d’avoir fait un grand pas après avoir réussi le téléchargement ?
  • Vous considérez qu’il n’y a pas le feu au lac ? Ce n’est pas faux, comme dirait… l’autre. Vous avez encore deux bons mois pour vous y mettre mais la procrastination, avouez que ce n’est pas terrible non plus !

Et sinon, c’est quoi le problème ?