Tout auteur a un premier lecteur. C’est ainsi. Même Stephen King en parle dans son livre autobiographique « Ecriture : mémoires d’un métier ». Pour lui, c’est sa femme. Pour moi, c’est Nicole.
Un premier lecteur, c’est quelqu’un qui a la capacité de déceler ce qui ne va pas et de le signaler avec bienveillance. De poser des questions aussi quand ce n’est pas clair. Et ce n’est pas rien ! Parce qu’il faut cette dose de confiance, de respect et de compétences qui rend si unique le lien entre un sportif et son sparring partner.
Nicole est entrée dans ce rôle par amitié, grâce à des circonstances favorables aussi, et aujourd’hui elle est ma première lectrice et je ne peux que lui en être infiniment reconnaissante.
Alors, merci, Nicole, puisque je sais que tu vas lire ces lignes.