Le pont Valentré est l’emblème de Cahors. Il faut dire qu’il en impose ce bâtiment médiéval ! Et comme bien des monuments anciens, une légende lui est attribuée. Pour se convaincre qu’elle est vraie (comme toutes les légendes, évidemment), il n’y a qu’à observer le petit diable agrippé à l’une des pierres de la tour centrale, juste sous le toit. Pas de chance, vous ne le verrez pas sur cette photo, même en loupe 300 000x, il se trouve sur la façade opposée, celle qui regarde le Lot vers l’aval.
J’ai utilisé cette légende dans la nouvelle intitulée Rencontre e-nattendue du recueil Point à la ligne parce qu’elle m’est familière, ayant accompagné mon enfance, et pour entraîner Violette, la geek héroïne de la nouvelle, vers un univers bien différent du sien.